dimanche 12 décembre 2010

Tactical Koppo Fighting System

QU’EST-CE QUE LE Tactical Koppo Fighting System ?

Cette méthode de self défense est née de l’étude approfondie des disciplines de combat les plus efficaces élaborée par l’homme :
- Le KOPO JUTSU, art martial japonais venu du fond des âges (ancêtre du KARATE)
- De la boxe Thaïlandaise et du KRABI KRABONG.
- Du PENCHACK SILAT
- Et des arts de combat philippins (KALI, ARNIS, ESKRIMA).

Le Tactical Koppo Fighting System est la synthèse de ces styles réputés comme redoutables.
Contrairement à la mode actuelle, nous ne combattons pas au sol, car en situation d’affrontement réel cela se révèlerait trop dangereux.
Imaginez plusieurs agresseurs dans un espace réduit (ex. un couloir, un bar dont le sol est recouvert de morceaux de verre …) allez-vous prendre le risque de vous faire piétiner ? Néanmoins, nous savons réagir en cas de chute, face à un ou plusieurs assaillants.

De plus, le Tactical Koppo Fighting System ne possède pas de KATAS (Taos, Poomse, Djurus, Qyens..), ni de techniques spectaculaires, tels les coups de pieds sautés retournés, ou autres techniques qui demandent des mois, voire des années de pratique avant d’être maîtrisées.
Nos actions visent à anéantir l’agresseur le plus rapidement possible et ce, avec une dépense d’énergie minimum. Nous privilégions les contre attaques visant les zones sensibles du corps tels, les parties génitales, la gorge, les yeux, les cervicales et les genoux, en fait, toutes les techniques les plus efficaces qui ont été abolies par les compétitions sportives ou tournois dits de combat libre.
Rien ne nous empêche de mordre ou de cracher au visage de l’agresseur si cela nous permet de sortir indemne de la confrontation. Nous n’utilisons pas non plus toutes les armes dites traditionnelles tels, Katana, lances, hallebardes qui avaient leur utilité sur les champs de bataille d’antan, mais devenues inappropriées de nos jours.

Le Tactical Koppo Fighting System se présente comme une méthode de self défense réaliste, avec 3 programmes distincts :
- un pour les civils et pratiquants d’arts martiaux,
- un deuxième pour les pros de la sécurité et forces de l’ordre,
- et enfin le troisième, réservé à l’armée.

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